Catégorie : Lisaa Paris Design graphique Page 7 of 10
Aujourd’hui, dernier jour de cette édition Workshop 2018.
Les groupes voient enfin le bout du tunnel.
C’est la journée où il faut donner le meilleur de soi-même.
Les groupes du matin arrivent tôt pour tout préparer.
Les stands sont passés au peigne fin, rien ne doit être laissé au hasard.
On voit ainsi, de salles en salles, des installations et univers propres à chaque groupe se créer. Salle très intime et chaleureuse, pièces renversées ou encore salle plongée en pleine obscurité, rien ne se ressemble !
Les jurys s’enchaînent et les premières notes tombent.
Les coups de coeur des professeurs se dessinent peu à peu, qui touchera le coeur de nos chers jurys ? Les oraux se poursuivent ; les groupes se détendent et prennent plaisir à partager leurs créations avec élèves et professeurs.
À midi, les premiers stands se démontent et laissent place aux groupes de l’après-midi. Encore ici, les salles ne se ressemblent pas.
Les élèves prennent d’ailleurs plaisir à découvrir les univers et créations de chacun. Partages, rires et échanges sont au rendez-vous.
À 17 heures, le gong de fin a sonné.
Les élèves sont libérés. Soulagements et parfois des déceptions sont visibles
sur leurs visages mais il est temps à présent de relâcher la pression.
Tous attendent les résultats avec impatience.
Quelles seront les bonnes surprises de cette édition 2018 du Workshop ?
De l’agitation dans l’école, des allers-retours dans les salles, la tension se fait ressentir et les derniers préparatifs se mettent en place. Dernier jour avant le jury, tout doit être terminé et le choix des stands se précisent. Plus le temps de roupiller, il faut s’activer !
Bombes, plâtres et sculptures se mêlent pour donner cœur au projet.Les premiers stands sortent de terre en fin de journée !
L’envie de finaliser se fait ressentir ; ne vous en faîtes pas, vous touchez au but.
Des tensions dans les groupes rythment la journée de nos jeunes graphistes.
Des décisions de dernière minute sont nécessaires afin de finaliser les projets tandis que d’autres répètent leurs oraux.
La fatigue se voit, des pleures sont au rendez-vous, les nerfs craquent peu à peu.
Des gouttes de sueur perlent votre visage, vous n’êtes plus très loin,
tout sera fini demain.
Bon courage à tous !
Un Mercredi chirurgie !
Troisième jour de workshop, la pression se fait ressentir. Du mouvement dans
les couloirs, des vas et viens dans les salles rythment la journée.
Pour quelques groupes des shootings photos ou encore des animations.
Plus le temps de jouer, le temps passe et il ne faut plus douter ; il faut créer !
Filmer, photographier, découper, coller, dessiner ainsi se résume la journée pour la plupart des étudiants.
De plus en plus de maquettes et illustrations prennent vie. Entre miroirs, fils
et lumières fluorescentes nous ne savons plus où donner de la tête.
Cependant, le timing avant le rendu se resserre et quelques élèves commencent
à stresser. Les oraux eux aussi commencent à être écrits et préparés, il ne faut rien laisser au hasard ! L’école se transforme en une vraie fourmilière.
Les sous-sols et salles grouillent de groupes au travail.
Entre rires, disputes et pleures l’ambiance est électrique.
Néanmoins, la bonne humeur règne toujours sur le pôle ; on ne se laisse
pas abattre !
En exclusivité pour vous ; des avants premières des thèmes et sujets abordés
par nos petits groupes favoris :
Groupe 1 : « Nous étudions la palpitation. Nous nous mettons dans la peau d’un collectif d’artistes pour encourager les personnes à vivre leurs émotions pleinement. Pour se faire, nous allons créer une boite faite de miroirs. À l’intérieur, nous y avons placé un noyau et du fil qui reproduisent des palpitations du cœur.
Notre vidéo sera faite à partir d’un oscillogramme. Enfin, nos illustrations représenteront les moments marquants de notre vidéo.
Tous nos projets seront liés par une fil conducteur. »
Groupe 9 : « Nous avons comme thème « le bagage émotionnel ».
Nous allons réaliser un reportage photographique sur les sans-abris et leurs quotidiens. Nous souhaitons comprendre le lien affectif que peut avoir un objet
sur une personne. Ensuite, en illustration nous allons créer une série de trois images sur lesquelles trois signes seront apparents.
Le premier est le cœurs pour l’aspect émotionnel.
Le second est la main pour parler de l’aide et du partage.
Enfin nous avons choisi les yeux pour parler du regard que nous portons
sur les sans-abris et celui qu’ils nous portent. »
Groupe 10 : « Nous travaillons sur « l’arrêt cardiaque numérique ».
En 2038, un gros crash internet aura lieu et de nombreuses données de celui-ci seront supprimées.
Nous voulons travailler sur le parallèle « bug internet » / « arrêt cardiaque ».
Groupe 11 : « Vivons-nous dans un monde sans empathie ?
C’est sur cette question que souhaitons axer notre travail.
Nous allons créer un marabout. Il sera celui qui amènera l’empathie aux personnes qui le demandent. Nous réaliserons pour cela des affiches, des cartes de visites pour le présenter. Notre marabout ne possèdera pas de visage afin que les personnes extérieures au projet puissent se l’approprier et lui donner un aspect anonyme. Enfin nous réaliserons un GIF afin d’expliquer comment notre
marabout fonctionne. »
Après une journée haute en production ; Comment nos apprentis chirurgiens s’en sortiront demain ? 
TEAMWORK.ZIP
Un Mardi sous la pluie !
Jour 2 du Workshop. Ils sont forts, ils sont beaux, ils sentent bon le sable chaud
les élèves d’Arago !
Totalement faux, ils sont trempés, certains arrivent dégoulinants et fatigués,
mais l’envie est là.
Certaines idées prennent forme, tandis que d’autres sont abandonnées.
Il ne faut pas désespérer. On se regroupe et on motive les troupes.
Gribouiller, dessiner, noter, penser, modeler et s’affirmer sont les maîtres mots
de cette journée.
Entre réflexion, interrogation et dissection, les groupes sont en effervescence. Quelques thèmes prennent vie, amitié, transplantation, questions de genres, maternité, quel thème saura se démarquer ?
La répartition des tâches, entre les différentes applications (photographie, illustration, vidéo, édition…) et les premières réalisations s’effectuent.
Des cœurs meurtris, moulés, scalpés puis scannés sont utilisés pour expérimenter.
De retour chez soi, chacun réalise les tâches qui lui sont attribuées et laisse court
à leur créativité.
Qu’allons-nous découvrir demain matin, bonne ou mauvaise surprise ?
