Avant dernier jour pour nos équipes Nantaises ! L’esprit d’équipe est plus présent que jamais à quelques heures de la fin. Scie, cutter, colle, laine, aiguilles, bouteilles, cartons, métal, de multiples matériaux en tout genre pour de super projets ! Le stress monte à l’approche de la fin de semaine. Attention, plus que quelques heures avant la présentation au jury ! Léon est toujours là pour vous aider !
Ah au fait, les vidéos qui sont publiées dans l’article depuis le début de la semaine sont de Marina Berthely.Les mains trembles, les gouttes de sueurs perlent sur le front, nos étudiants sont actuellement aussi tendax que Dominic Thiem quand il pensait encore avoir une chance de battre Rafael Nadal en finale de Roland Garros. Donc la question aujourd’hui, c’est qui sera notre Rafaelito cette année.Bon, après avoir demandé je ne sais pas combien de fois combien il y avait de jury et comment ça allait s’organiser, j’ai toujours pas tout compris (en même temps à 9h du matin fallait pas s’attendre à grand chose venant de mon cerveau). Mais de ce que j’ai retenu :
6 jurys, chacun composés de 3 personnes, auront un groupe à juger, sauf bien sur les groupes d’ « au fond du trou « et « dans l’arène » qui ont décidé de pas faire comme tout le monde et qui ont fait un projet commun. Ils auront donc tous les deux le même jury parce que « l’union fait la force » c’est bien beau deux minutes, mais comment on juge nous après. Une team sera primée par groupe, un lauréat sera désigné par les jurys et les élèves et gagnera un prix.Et cette année en exclusivité je vous dévoile la grille de notation du jury, écrite par, notez bien, Joachim Werner parce que « IL FAUT TOUJOURS CITER SES SOURCE ».Bref aujourd’hui c’est finalisation, rendus qui vont surement planter trois fois sinon ça serait trop simple et jugement impartial des jurys momentanément transformés en Alice Nevers. Regardez comme ils sont tout stressé.Du coup je vais abréger et place au beau.Marine CHARRIERE (ARTICLE ET PHOTOS)
Dernier jour du Workshop, certains ont toujours les mains dans le cambouis pendant que d’autres préparent leurs oraux et leur scénographie. Les étudiants ne tournent plus en rond, tout est mis en oeuvre pour finir leurs projets en temps et en heure. Cette année encore ils sont CHARRETTE même 30mn avant le jury !
Cette année 3 prix vont être décernés :
« Le prix coup de coeur de l’ARMADA PRODUCTIONS » (le projet choisit sera réalisé lors du festival La Fête) C’est Green Cycle qui l’emporte avec sa sensibilisation à tout âge sur l’environnement et l’écologie.
« Le prix coup de coeur de l’AFCA » (le projet gagnant aura la possibilité d’être réalisé lors du festival national du film d’animation) Ici, le jeu post-apocalyptique « Escape Earth » gagne la partie !
« Les prix coup de coeur de LISAA » : Plusieurs prix circulent dans la tête des professeurs ! En effet, certains projets se démarquent comme : « La machine » qui dénonce la société de consommation, « Le Tricycle » recycler en faisant du vélo, « Application de recyclage » l’appli’ qui recycle, et pour finir « Le pétrole » qui dénonce l’industrie pétrolière.
Pour fêter cette fin de workshop, le BDE nous propose un pot lors duquel nous pourrons tous nous rassembler et discuter de ces trois jours intenses.
En ce milieu de semaine, les étudiants se sont prêtés au jeu en répondant à une interview tournant autour de leur projet de workshop, et plus généralement du sujet « circulaire ».
En attendant la vidéo, voici un retour dessiné sur leur aimable participation.
Ça y est, le troisième jour de cette semaine de workshop est déjà bien entamé. Les étudiants d’Arago continuent de se succéder par groupes le matin et l’après-midi, et trouvent une façon de s’organiser afin de travailler le plus efficacement possible.
En ce mercredi, un fourmillement d’idées mais surtout de matières et d’expérimentations se déploie dans l’école. Les volumes commencent à prendre forme, les idées se concrétisent et les élèves se lancent dans la dernière ligne droite vers les jurys.
Contrairement au lundi où l’heure était à la réflexion, cette journée fut rythmée par la créativité des étudiants. En effet, c’est aujourd’hui que l’école a commencé à être investie par un grand nombre de matériaux plus ou moins farfelus et que les expérimentations ont réellement débutées. Sculpture, gravure, lino, couture, assemblage et découpage, tout le monde a mit la main à la patte pour avancer un maximum aujourd’hui, demain étant le dernier jour avant les jurys.
Pour certains, c’est le début du stress et des appréhensions, un certain stress qui peut parfois fonctionner comme un moteur et lancer la machine de la création.
Un élan d’énergie et de productivité s’est fait ressentir tout au cours de la journée, dans les salles et jusque dans les couloirs de l’école.
Malgré le stress qui commence à monter, les étudiants gardent le sourire et, étonnement, aucun clash n’a été répertorié aujourd’hui.
Le temps s’accélère, ça commence à jouer le chronomètre et ça se voit ! Les ateliers débordent des salles et les workshopers qui étaient bien sages et bien assis à leurs tables jusqu’à ce matin se mettent à l’aise et s’étalent un peu partout.
Aujourd’hui j’ai mis 30 minutes rien que pour atteindre ma salle de travail. Entre les cartons en travers de l’escalier, les bouts de verre par terre à l’étage et les écorces d’arbres dans le couloir, il va bientôt falloir que je crée un google maps spécial LISAA pour trouver l’itinéraire le plus rapide entre le rez de chaussée et le deuxième étage.
Bizarrement, les profs, eux, se téléportent sans aucun problème d’une salle à l’autre ce qui m’amène à me demander si il n’y aurait pas un passage secret dans l’école.
Bref en attendant je ne peux plus aller dans mes toilettes fétiches tranquille (celles tout de suite à droite en rentrant) parce que certains ont eu une envie soudaine de les repeindre en noir pendant que d’autres ont décidé de condamner le seul couloir de l’étage pour faire pendre ce qui ressemble au pot-pourri de Noël de ma grand-mère Jacqueline. Je suis donc obligé de faire un détour en passant par deux salles annexes et en répétant avec la sincérité d’un gosse qui jure ne pas avoir mangé de chocolat alors qu’il en a plus autour de la bouche que dans son ventre que « je suis vraiment désolé de vous déranger » et que « oui oui vous allez gagner c’est magnifique » Vous l’aurez donc compris avec tout ça aujourd’hui je suis un peu chafouin.
ZOOM SUR LES JOURNALISTES RADIO( – LES GEEKS)
Oui les geeks, vous avez bien entendu, parce que même si les journalistes radios et les journalistes réseaux sociaux sont dans le même bateau, la salle 5 est porte fermée depuis le début de la semaine et les journalistes radios sont portés disparus.
Du coup écoutant mon coeur héroïque, je suis allée voir si il ne seraient pas mort à la suite d’un raid WOW qui aurait mal tourné et qui aurait mit plus de 48h à se terminer. Après tout, fixer son écran sans boire ni manger ni aller se soulager pendant deux jours, je vous laisse imaginer l‘horreur si c’est vraiment ce qu’il s’est passé.
Bon, bonne nouvelle ils sont en vie et vu ce qu’ils ont fait en deux jours je comprend pourquoi on ne les a pas trop vu. Ces 12 touche-à-tout ont déjà fait 2 reportages comportant plusieurs interviews sur les élèves de LISAA, plusieurs directs live, des podcasts, des musiques enfin bref ils se sont vraiment transformés en mini radio. En même temps avec Lucas KARST et Luc LEROY d’ODC Live en intervenants, ils ont intérêt à carburer.
Je sais, je sais LISAA Strasbourg à la grande classe. On a réussi à se dégoter un super partenariat avec ODC Live. Alors la je vous vois venir « Euh ouais euh mais Marine c’est quoi ODC Live? » Déjà tu te calmes et ensuite j’y viens c’était prévu.
Lucas KARST et Luc LEROY
ODC Live c’est LA webradio électro strasbourgeoise 100% indépendante. Avec un studio fixe au Graffalgar de 8h à 21h, des émissions hebdomadaires mais aussi un tas de créneaux ouverts à n’importe quel DJ voulant se produire ne serait-ce qu’une heure (faut juste que t’envoi une démo la radio). Tout le matériel est de qualité, mis à disposition et le petit plus: on peut suivre les sets en direct et de partout comme si on y était.
En tout cas, leur équipe vit à 100 à l’heure: lives Facebook, conférences au Shadock, festival Contre-Temps, Longevity, Pelouses sonores, soirées au Mudd, au Fat ou encore à la Kultur, ils se sont développés à une vitesse hallucinante en seulement 3 ans. Aujourd’hui ils possèdent leur propre logiciel de programmation et de streaming en direct avec un seul objectif: mettre en avant des artistes locaux, puis nationaux et internationaux. (ouais je les vantent trop bien mais bon faut aussi que j’ai mon année).Alors on clique les poulets !